Issu d’un PnP, ce petit jeu vous propose un joli casse-tête dans un verger aux fruits multicolores.
L’auteur du jeu, Mark Tuck, est assez prolifique en termes de petits jeux et ce Orchard a même gagné le titre Golden Geek du meilleur PnP de l’année 2018.
Le jeu est édité par Side Room Games chez qui on peut trouver Maquis ou Black Sonata. Et pour Black Sonata, on vous en parlera très bientôt ! La VF est assurée par Abigames.
Il s’agit d’un jeu solo, à partir de 10 ans et pour une durée de 10 minutes environ.
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A quoi ça ressemble ?
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Comment on joue ?
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Le jeu se compose de 9 cartes et quelques dés. Le but est de superposer les cartes pour augmenter la valeur des dés posés dessus.
Les cartes représentent 6 arbres de ce verger aux arbres colorés. 3 couleurs d’arbres composent chaque carte : 2 jaunes, 2 violets et 2 rouges.
Toutes les cartes représentent 6 arbres en 2 lignes et 3 colonnes.
En même temps, chaque carte est unique dans le placement des couleurs. Vous n’aurez pas deux cartes avec exactement les mêmes placements d’arbres colorés. C’est d’ailleurs là que réside la magie du jeu.
Le matériel complet comprend 18 cartes, 15 dés et 2 marqueurs « fruit pourri ». Sur ces 18 cartes, vous en utiliserez 9 tirées au hasard à chaque partie.
De ces neuf cartes, vous en piochez 2 et en placez une en jeu. Vous piochez ensuite une carte et recommencez.
A partir de la deuxième carte, il vous faut superposer les cartes.
Pour cela, vous devez placer des arbres sur des arbres de même couleur. Le but étant d’en recouvrir un maximum tout en anticipant les poses suivantes. Le tout sans savoir les cartes qui vont tomber. Pas mal de hasard, même si, à force de jouer, on finit par entrevoir les schémas de cartes qui pourraient arriver.
Quand vous recouvrez un arbre, vous placez un dé sur sa face de valeur 1. Si vous recouvrez l’arbre sur lequel se trouve ce dé augmentez sa valeur d’un cran sur le dé on a donc 1>3>6>10.
Ce sont les points de victoire que représentent ces faces de dés.
Durant la partie, vous pouvez deux fois recouvrir un arbre par un autre d’une autre couleur. Si c’est le cas, placez un marqueur fruit pourri. Il n’est pas possible par la suite de recouvrir un fruit pourri. De plus, les fruits pourris dans votre verger en fin de partie vous retirent 3 points chacun.
A vous de bien superposer les cartes pour maximiser vos points. A l’arrivée, votre score est à comparer avec le barème donné dans le livret de règles. Un beat your own score tout simplement.
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VERDICT
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Orchard est donc un casse tête agréable. Il n’est pas complexe et le hasard est tout de même omniprésent. On se rend rapidement compte que certaines parties seront « perdues » d’avance et réussir à décrocher les 55 PV ne se fera pas qu’au talent. Certaines sorties des dernières cartes peuvent être rageantes et casser complètement la partie.
Il faut prendre ce jeu pour ce qu’il est : un petit casse-tête qui permet de se vider la tête le temps de 10 minutes.
Avec Orchard, cultivez votre verger de poche !
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Talisman la 4ème édition révisée vous offre la possibilité de jouer de 2 à 6 joueurs. Le jeu est recommandé à partir de 14 ans mais il est clairement abordable pour des joueurs plus jeunes s’ils sont bien accompagnés. Il y a 104 cartes aventures (créatures, événements et objets que vous découvrirez durant votre quête), 24 sorts différents, 287 cartes achat (objets que vous pourrez acheter), et 14 cartes personnages et leur figurine correspondantes.
De quoi jouer de nombreuses parties sans avoir le sentiment de toujours jouer la même.
Talisman la 4ème édition révisée est l’œuvre de Robert Harris, John Goodenough et Rick Priestley. Il est illustré par Ralph Horsley, Massimiliano Bertonini et Jeremy McHugh. Il est édité par Pegasus Spiele et distribué et localisé par Matagot.
l– Des photos du matériel de la 4ème édition –
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Pour info, Talisman est donc paru en 1983 pour la 1ère édition, a connu différents éditeurs et distributeurs au cours de sa longue histoire. A commencer par Games Workshop le célèbre éditeur des jeux Warhammer entre autres.
Dans Talisman, vous incarnez donc un aventurier qui va découvrir le monde de Talisman, s’y déplacer et faire des rencontres sur les différents lieux du plateau. Rencontres inamicales se soldant par des combats contre des monstres ou des joueurs, ou rencontres vous permettant de découvrir des objets qui pourront vous équiper, ou encore des événements qui affecteront positivement ou négativement votre personnage.
Votre personnage, justement, aura des capacités spécifiques que vous pourrez développer tout au long de votre aventure. Vous pourrez l’équiper d’armes, de sorts ou d’autres objets au sens large, + ou – nécessaires à la poursuite de votre aventure. Vous devrez améliorer votre personnage afin d’affronter des dangers de + en + ardus au fur et à mesure que vous vous enfoncerez dans Talisman !
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Talisman c’est quoi, à part un jeu multi réédité, multi révisé, multi extensionné ?
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J’ai trouvé cette phrase sur BGG, la bible des jds en anglais, et qui selon moi résume parfaitement le jeu, donc je vais l’emprunter (et la traduire) sans vergogne :
« Vous incarnez un aventurier qui voyage dans un monde fantastique. Vous lancez les dés, bougez dans l’une ou l’autre direction, et vous faites une rencontre sur la case où vous terminez votre mouvement ».
Talisman vous propose de vivre des quêtes magiques depuis 1983 quand même… Autant dire que les premiers aventuriers ont un peu pris la poussière.
Tout comme le jeu diront certains.
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Alors, oui … et non ! Réponse en 2 temps:
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Oui parce que les mécaniques du jeu sentent un peu la naphtaline.
Même si les différentes éditions ont apporté différents liftings visuels ou équilibrages en termes de règles.
Heureusement d’ailleurs, les premières éditions n’étant pas exemptes de tout reproche, et il faut bien que les éditeurs et auteurs fassent leur boulot et rééquilibrent leurs jeux quand le besoin s’en fait sentir.
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Le postulat de base est assez simple, vous allez lancer des dés.
Vous aimez le jeu de l’oie ? Vous ne serez pas dépaysés.
Vous incarnez donc un aventurier en quête de la Couronne de Commandement pour diriger la Terre de Talisman. Vous devrez voyager sur un plateau composé de 3 régions différentes, Extérieure, Médiane et Intérieure, pour finalement essayer d’atteindre la Porte du Pouvoir.
Presque tout ce que vous ferez dans ce jeu sera résolu par un jet de dés ou une pioche de cartes.
Vous souhaitez vous déplacer ?
Lancez les dés.
Vous arrivez sur une case et vous résolvez la rencontre associée ?
Piocher des cartes.
Vous effectuez un combat contre un monstre ou un adversaire ?
Lancez les dés.
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Pour simplifier à l’extrême, voici à quoi ressemblera votre tour.
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Allergiques à l’aléatoire, merci donc de passer votre chemin. Le hasard est intrinsèquement lié à Talisman. Il en est une composante essentielle et l’ensemble de son gameplay est basé dessus. De nos jours, il est plutôt rare de voir un jeu de ce calibre ne se reposer que sur cela.
Mais il ne faut pas oublier que Talisman est sorti en 1983, âge d’or de jeux tels que Monopoly, La Bonne Paye, Trivial Pursuit, Risk et j’en passe. Des jeux basés sur des lancés de dés à outrance, le fameux « roll&move ».
Aujourd’hui, même si les dés sont encore souvent présents, ils sont associés à d’autres mécaniques et ne représentent pas (le + souvent) la base du jeu, surtout dans un jeu d’aventures et de quêtes.
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Non parce que malgré tous ses défauts, Talisman garde une côte d’amour assez élevée parmi 2 générations de joueurs qui, souvent, initient la 3ème grâce à ce jeu.
Il a ce côté simple d’apparence qui lui permet d’être joué et expliqué à beaucoup de joueurs ou non joueurs. Il est abordable.
Ce côté madeleine de Proust touche cette génération née dans les années 70 et 80, génération qui est prête à beaucoup pour goûter à nouveau à cette nostalgie. Collectionneurs aguerris, disposant de moyens leur permettant généralement d’assouvir leur passion, ces joueurs biberonnés à Talisman, D&D et autres aventures mystiques nées dans ces années-là se remémorent les longues heures passées sur ce jeu. Il a constitué pour beaucoup une introduction au monde des jeux, à la fantasy et au jeu de rôle. Quoi de plus naturel que de s’en servir pour retrouver une partie de ce plaisir avec ses enfants.
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Les défenseurs de Talisman vous diront que réduire ce jeu au simple hasard du lancer de dés et de la pioche indique que vous êtes passés à côté de l’essence du jeu.
Que vous n’avez pas les bases pour reprendre une phrase d’un rappeur normand que j’ai pu côtoyer en école de commerce.
Talisman est un jeu d’aventures. Forcément vous ferez de bonnes rencontres, mais aussi des mauvaises. Vous tomberez sur des adversaires puissants, mais aussi sur des plus faibles que vous. Vous ouvrirez un coffre et récolterez une épée magique qui fera de vous un titan au combat. Mais aussi vous pourrez prendre d’assaut un donjon, le libérer de ses sinistres occupants au prix d’intenses efforts, pour arriver à la salle du trésor, et n’en récolter qu’une malheureuse baguette de sorcier qui vous servira à allumer le feu de camp ce soir, vous, le barbare aux 2 haches tranchantes.
La vie d’aventurier est soumise au hasard.
A vous de vous y adapter, de vous déplacer dans le monde de Talisman, et de mesurer le risque pris en faisant tel ou tel déplacement, telle ou telle action, pour vous stuffer (améliorer votre équipement), augmenter les caractéristiques de votre personnage, et vous préparer à passer dans la région médiane, puis intérieure pour finalement vous frotter à l’épreuve de la Porte du Pouvoir !
Le chemin ne sera pas linéaire, vous aurez certainement des désillusions, mais accrochez-vous et vous aurez une chance de triompher.
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Bon ça c’est pour les fans du jeu … 😉
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VERDICT
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Pour peu que vous vous en donniez la peine, vous vivrez de belles aventures fantastiques dans ce jeu de quête magiques, qui vous permet de jouer sans vous faire un nœud au cerveau, de boire quelques bières avec vos amis et de vous moquer de la malchance de ce bon vieux John qui va enchaîner les lancés de dés tout pourris. Vous pourrez même vous offrir le luxe de discuter de la dernière série que vous avez vue sans que cela ne vous pénalise pour la suite de l’aventure…
Vous aurez aussi le sentiment de faire grandir votre personnage, de le sentir monter en puissance au fur et à mesure que vous l’équipez, que vos décisions augmentent ces caractéristiques, et que son aventure le mène de + en + profondément dans le royaume de Talisman.
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Alors si l’aventure vous tente, n’hésitez pas à réunir votre groupe de héros et partez explorer Talisman. N’oubliez pas que le hasard est partie intégrante du jeu, que la partie peut durer en longueur, pour simplifier, vous pouvez mourir en enchaînant de mauvais lancers de dés !
Mais vous pourrez aussi vivre une aventure avec vos amis ou initier les enfants qui devraient se plonger sans trop de problèmes dans ce jeu immersif pour peu qu’ils aient soif d’aventure et que la perspective de combattre des dragons et d’équiper leur héros les fassent sauter au plafond.
Et pour vous les nostalgiques, retrouvez ce jeu qui vous a peut-être accompagné durant votre jeunesse, à nouveau disponible chez Matagot !
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Pandemic est créé en 2008 par Matt Leacock, et édité par Z-Man Games.
Jeu coopératif où les joueurs doivent agir ensemble pour juguler des épidémies, le jeu s’est vu doter de plusieurs extensions, et jeux basés sur le même système.
Ainsi, on a pu voir débarquer Au Seuil de la Catastrophe, In Vitro, Etat d’Urgence comme extensions, puis Contagion, Le Remède, le Règne de Cthulhu, Legacy saison 1 et 2, Montée des Eaux, La Chute de Rome, Iberia et donc Intervention d’Urgence pour les « suites », ainsi qu’une édition 10ème anniversaire.
Ouf!
On peut dire que le concept est bien rentabilisé par les auteurs et éditeurs.
Le premier jeu Pandemic fait partie des « classiques » des jeux coopératifs, et permet souvent d’initier de nouveaux joueurs à ce style. Il est dorénavant distribué dans de nombreuses enseignes, et fait partie de l’offre de jeux de société la plus visible pour les non-joueurs. Il est donc une porte d’entrée sur le monde du jeu que l’on ne peut négliger, que l’on aime ou pas.
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Intervention d’Urgence va amener le jeu en temps réel et la tension qui va avec à cette série Pandemic.
C’est Kane Klenko qui en est l’auteur, Jasmine Radue, Dan Gerlach, Bree Lindsoe, R. Shimota et Atha Kanaani qui l’ont illustré. Z-Man Games toujours l’éditeur, avec Edge et Asmodée pour la distribution.
Prévu pour 1 à 4 joueurs, à partir de 8 ans et pour une durée d’environ 45 minutes.
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A quoi ça ressemble?
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Comment on joue?
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Pour contrer les catastrophes naturelles qui menacent l’humanité, les nations du monde ont décidé de créer une unité spéciale: l’Unité d’Intervention d’Urgence. Grâce à un avion spécialement équipé pour permettre à des chercheurs et des spécialistes de préparer les ravitaillements et remèdes, l’unité va intervenir dans le monde entier pour remporter cette course contre la montre.
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Le plateau central représente l’avion et ses différentes zones dans lesquelles les joueurs et le spécialiste qu’ils incarnent vont devoir préparer les ravitaillements pendant qu’ils font se déplacer l’avion vers les villes qui sont menacées par des catastrophes.
Autour du plateau vont apparaître au fur et à mesure de la partie des cartes du nom des villes menacées, avec la quantité et le type de ravitaillement nécessaire pour contrer cette menace. On va faire déplacer la figurine représentant l’avion autour du plateau de ville en ville pour se rendre sur le théâtre des opérations.
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Chaque joueur dispose d’un meeple à sa couleur, d’une carte décrivant son scientifique et sa capacité spéciale, et de dés à sa couleur. On se sert des dés pour se déplacer dans l’avion, pour faire déplacer l’avion et pour préparer le ravitaillement.
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Le principe est le jeu en temps réel. On va donc déclencher le sablier et le premier joueur commencera à jouer. Il lance ses dés et les alloue comme il le souhaite (déplacement, avion, ravitaillement). 2 fois par tour il peut relancer n’importe lequel des dés, en conservant, avant chaque relance, les résultats de son choix.
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Pour fabriquer du ravitaillement, un joueur va lancer ses dés et les allouer sur les emplacements dans la zone où il se situe. Par exemple, dans la zone Energie, pour fabriquer 3 caisses il faudra qu’un ou plusieurs joueurs allouent 5 de leurs dés dans cette zone. Il faut déjà que les dés donnent les faces énergie pour cela! En relançant les dés et en utilisant les capacités de certains scientifiques, on arrive à mettre le nombre de dés sur la bonne face souhaitée, et fabriquer les ravitaillements.
Il faudra faire vite et accomplir ses actions sans prendre trop de temps pour accomplir ses objectifs. Si le sablier n’est pas écoulé lorsque le joueur finit son tour, le joueur suivant joue et ainsi de suite. Une fois que le sablier est écoulé, on stoppe momentanément le tour du joueur. On défausse un jeton Temps de l’avion et on rajoute une carte ville face visible autour de l’avions.
Il y a donc maintenant une nouvelle ville menacée par une catastrophe, et si vous ne prêtez pas attention, les villes vont se cumuler et vous serez submergés. La quantité de ravitaillement est limitée dans sa production et dans son stockage. Il faudra donc faire preuve d’organisation et définir vos objectifs.
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Préparer des ravitaillements va aussi générer des rebuts qui vont s’accumuler dans l’avion. Il faudra gérer ce compteur de rebuts sous peine de perdre la partie. Un joueur dans la zone Recyclage pourra allouer ses dés pendant son tour, et faire diminuer ce compteur Rebut.
Lorsqu’un joueur active la zone soute, et que l’avion se trouve dans la ville souhaitée, vous livrez les ravitaillements à la ville concernée, qui n’est plus menacée. Vous gagnez aussi un jeton Temps.
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La partie est perdue lorsque le sablier est écoulé et que l’avion ne contient plus de jetons Temps. Ou lorsque le marqueur Rebut atteint la dernière case.
Vous l’emportez lorsque vous avez livré les ravitaillements à toutes les cartes Ville de la partie.
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VERDICT
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L’ajout de la gestion du temps réel dans la série Pandemic représente la vraie nouveauté et le principal intérêt de ce jeu. Sans organisation ni stratégie vous n’irez pas bien loin. Le système est punitif et plus vous perdez de temps, plus le nombre de menaces augmente, la pression aussi. C’est comme ça qu’on fait n’importe quoi …
Ajoutez à cela le fait que vous êtes dépendants de vos lancers de dés pour réussir vos actions, et bien vous voilà avec un cocktail hasard + pression qui en découragera plus d’un! 😉 On subit, c’est intense et vous ne contrôlez que peu de choses.
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Mais si vous relevez le défi, vous participerez à cette course contre la montre et tenterez de gérer tout en même temps. La fabrication des ravitaillements dans le bon nombre, le déplacement de l’avion vers la ville souhaitée, les déplacements de vos scientifiques dans l’avion, la gestion du stock de rebuts qui peut vous faire perdre la partie, la livraison des ravitaillements, le sablier qui n’en finit jamais de s’écouler, etc…
Bref c’est pas une mission de tout repos! Mais ça peut être fun si votre groupe de joueurs aime le coopératif, et les défis un peu stressant. C’est du familial, ça se comprend vite, la mise en place est rapide, et le sentiment de tension vite présent!
Allergiques à la série Pandemic, à part si le temps réel vous botte, ça vous en touchera une sans faire trembler l’autre…
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