Le nouveau jeu d’Anthony Perone, à qui l’on doit Knock Knock Dungeon, ou récemment Dive, revient ici avec un nouveau jeu visuel. Animètre est édité chez LifeStyle Boardgames, un jeu pour 2 à 5 joueurs pour des parties de 15 à 20 minutes, à partir de 6 ans.
On est ici en présence d’un jeu très familial, pour faire jouer ensemble petits et grands !
Animètre vous demande d’aider de petits animaux à récupérer un maximum de pommes dans un arbre matérialisé par un mètre ruban.
Chaque carte représente un hérisson, une souris ou un lièvre de taille différente et à vous de les empiler pour créer 3 colonnes de différentes hauteurs. Le but est simple : arriver à la hauteur de pommes bien juteuses dans l’arbre.
Mais pas si simple d’évaluer à quelle hauteur vos colonnes s’élèvent d’autant qu’il vous est interdit de déplacer l’arbre central.
Un jeu tout simple, mais efficace. Pas de prise de tête, on est ici dans un jeu pour tous où même les tout petits pourront participer !
Le jeu propose également un mode coopératif où les joueurs vont tenter de ramasser un maximum de pommes en prenant garde aux aigles qui les surplombent.
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Alors cet Animètre, qu’en pense-t-on ?
Ne cherchez pas un gros jeu, nous sommes ici en présence d’un jeu pour jouer avec les jeunes ou un jeu « d’apéro ». Les règles du jeu de base sont simples, visuelles, et on peut jouer immédiatement. Pour les plus jeunes, un peu d’aide pour le placement des cartes et le tour est joué ! Le plaisir de jeu est là, on jauge, on espère et on se plante ! Ajoutez un peu de mauvaise fois sur les cas tendancieux et vous avez un jeu bien sympathique !
Animètre tient dans la poche, on peut donc facilement l’emmener avec soi. Les parties sont courtes et il est plaisant d’en jouer 2 ou 3 de suite avec plusieurs arbres possibles pour ajuster la difficulté.
Un bon petit jeu des familles, pour les familles, qui permettra de réunir tous les âges dans la bonne humeur !
Jusqu’au bout j’y aurai cru. Avant même de le recevoir, j’étais plutôt saucé, j’avais beaucoup aimé l’une des précédentes productions de l’éditeur, un petit jeu de course et d’adresse pour enfants très sympa du nom de Roulapik. Ensuite, le pitch me plaisait bien. Incarner l’une des têtes d’un dragon pluricéphale issu du folklore russe pour aller cramer du chevalier me paraissait plutôt cool et original comme proposition ludique. Même enthousiasme à la lecture des règles. Ce mélange de tower defense et de programmation coopératifs me semblait fun sur le papier.
Malheureusement, une fois le carton sorti, ça n’a pas beaucoup rigolé autour de la table.
Gorynich est un conte de fée pour 3 à 7 têtes de dragons âgées de 8 ans ou + pour une durée de 15 à 20 minutes au coin du feu.
Cette histoire nous est contée par Arthur Viennot, illustrée par Sebastien Leboeuf, Sergey Kardakov et Victoria Volina-Lukian aux éditions Lifestyle Boardgames Ltd. Elle est arrivée jusqu’à nous grâce aux bons soins de Blackrock games.
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Tout feu, tout flamme
Le but du jeu : protéger la princesse venue en villégiature dans notre beau château afin de s’éloigner des vilains chevaliers qui ne font rien que la harceler (#balancetonnoble). Au début du tour, le premier joueur indique le chevalier dont il faudra chatouiller les miches au lance-flamme (seule communication autorisée du jeu) et ensuite chacun choisit secrètement une direction.
Le premier souci se révèle dès cette étape. Imaginons que le chevalier à abattre se trouve en bas à droite de notre position. Comment savoir quand on passe en deuxième si le premier joueur est parti à droite ou vers le bas ? Maintenant, s’il faut pour le rejoindre deux mouvements vers la droite et un vers le bas, comment le troisième joueur va-t-il savoir si les joueurs précédents ont fait : droite-droite ou bas-droite ? Tout ça est très vite soumis au hasard. Et pas un hasard rigolo comme dans certains jeux d’ambiance. D’autant que le jeu est calibré pour ne pas nous laisser le droit à l’erreur. En gros, on a la possibilité de passer un tour sans faire du méchoui de nobliau. Au-delà, on sait déjà que la partie est perdue.
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Comme un dragon sans ailes
Malheureusement, les pouvoirs spéciaux proposés par le jeu ne nous offrent pas tellement de répit puisqu’ils sont systématiquement assortis d’un bonus pour nos assaillants. Ce sont des épées à double tranchant qu’il va falloir utiliser avec parcimonie, bien qu’elles soient souvent indispensables pour gagner. Si ça aurait pu être sympa comme proposition, dans les faits ça vient surtout alourdir un jeu qui aurait justement eu tout intérêt à nous laisser un peu plus respirer.
Celui qui avait réussi à rendre la programmation fun dans un jeu de ce format, c’est Roberto Fraga avec son River Dragon (Dragons et programmation, apparemment ça va de pair.). Mais c’était un jeu compétitif. Tout le sel du jeu était d’essayer de deviner les intentions des autres joueurs et si on se trompait, plouf, nous et notre plan, on tombait à l’eau ! Là, il n’y a pas ce côté fun. Parce que se planter c’est s’assurer de se faire pourrir par le reste de l’équipe, prendre du retard sur le génocide de sang-bleu et également risquer de nous envoyer dans le décor. Parce que, oui, je ne vous l’ai pas encore dit mais en bon coopératif retors, le jeu a prévu d’autres manières de perdre. Si, par erreur, on sort du plateau ou on crame notre château, c’est game over.
Dernière déconvenue, s’il en fallait une. A certains tours, le jeu prévoit que le dragon se déplace de -1. Cela signifie que si je programme qu’il aille à gauche, il ira au contraire d’une case vers la droite. Pendant mes parties, j’ai joué avec un enfant de 8-9 ans… Qui a à peine survolé la notion de nombre négatif à l’école et n’était donc pas du tout familier du concept.
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Je n’ai pas trouvé le sourire du dragon
Gorynich part de bonnes idées mais se révèle trop punitif pour son propre bien. ll aurait pu être un petit jeu de programmation sympa à sortir en famille mais sa difficulté mal dosée basée sur des décisions parfois arbitraires le rend finalement pénible à jouer. Dommage.
Opération Cookies est l’œuvre de Martin Nedergaard Andersen, Alexander Peshkov et Ekaterina Pluzhnikova, les trois auteurs d’Escape from the Asylum, illustré comme ce dernier par Nadezhda Mikhailova et Victoria Volina-Lukian, ainsi que Ekaterina Chirkova et Anna Nenasheva, édité par Life Style et distribué en France par Blackrock Games.
Prévu pour 1 à 4 joueurs, à partir de 8 ans et pour une durée annoncée de 45 minutes.
Seul(e) ou à plusieurs, trouvez la pièce cachée de votre maison en résolvant moultes énigmes grâce à vos pouvoirs de super-héros (héroïne) !
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Le matériel
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La boite multicolore, un peu grande pour son contenu, renferme 2 « pochettes » cartonnées dépliables et très colorées elles aussi, maintenues par deux mini-inserts en plastique (« Grrr… »). Chacune d’elles abrite une des deux parties du jeu.
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Comment on joue ?
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Superhéros, à vos méninges !
Eh oui, vous êtes un superhéros et vous voulez prouver à vos parents, agents secrets, que vous êtes capable de partir en mission avec eux. Avec l’aide d’Ed, votre assistant domestique électronique (Que serait une aventure sans adjuvant ?!), vous décidez de trouver la pièce secrète de votre maison, en utilisant vos super-sens et votre super-logique pour résoudre une floppée d’énigmes., d’abord dans la partie 1 puis dans la partie 2 que vous pouvez enchainer ou démêler à 2 moments distincts. C’est un avantage pour des joueurs de cet âge.
Ces dernières sont tout à fait adaptées à des enfants de 8 ans et le thème est tout à fait approprié pour le public visé, tout en permettant aux adultes de s’amuser avec les plus jeunes. Le tout est donc assez immersif.
Lorsqu’une solution est trouvée (et vérifiée !), il suffit de suivre les instructions pour passer à la page suivante. (Il s’agira d’un code.)
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Tirez la chevillette languette et la bobinette cherra solution s’imposera !
Un système ingénieux de languettes vous permettra de vérifier si votre réponse à l’énigme en cours est correcte, vous donnera des indices et même la solution si vous le souhaitez !
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Je ne vous en dirai pas plus, sous peine de spoil…
Attention cependant à emporter votre délicatesse dans l’aventure ! Les languettes sont fragiles et peu aisées à soulever par des gros doigts d’adulte. 😉
Alors, ils sont bons ces cookies ?
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VERDICT
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Je suis la cible de ce type de jeu, même si le thème ne m’emballait pas trop. Non, je n’ai plus 8 ans, mais j’aime les énigmes. Celles-ci sont plutôt faciles pour des adultes ayant l’habitude de ce type de jeu : si vous jouez avec des enfants, laissez-les chercher !
Vous serez guidé tout au long de chaque partie (le jeu en compte 2), c’est parfait pour que les plus jeunes jouent en autonomie.
Côté esthétique, les couleurs et illustrations plairont (ou pas) aux enfants, mais elles participent à un ensemble cohérent et dynamique !
On ne peut pas parler de rejouabilité, mais une remise à zéro est prévue et je la trouve très astucieuse pour ce type de support. Bien sûr, le jeu n’est plus neuf mais complètement jouable.
Par le même éditeur qu’Escape from the Asylum, Opération Cookies s’adresse à un public beaucoup plus familial, notamment en raison de son thème plus enfantin. Cela n’enlève en rien la qualité de ses énigmes à la difficulté croissante mais toujours pour les plus jeunes. De ce fait, j’ai hâte de pouvoir jouer à Unfold : Dark Story (à partir de 12 ans) !
Conclusion
Un jeu d’énigmes pour enfants (mais aussi familial) à mettre entre toutes les mains, puis à faire découvrir à d’autres !
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Nous faisons partie du programme d’affiliation mis en place par Philibert sur leur site. Cela signifie que si un jeu que nous avons chroniqué vous plaît, et que vous l’achetez en cliquant sur le lien Philibert que nous proposons en bas de chaque article, nous percevrons une modeste contribution nous permettant de nous acheter d’autres jeux, pour pouvoir les chroniquer et vous donner notre avis. C’est une forme de soutien, et nous vous en remercions par avance! C’est grâce à vous que nous pouvons continuer à abreuver ce modeste blog avec toujours + de contenu.
Escape from the Asylum me tentait depuis un moment… puis j’ai enfin eu l’occasion de l’essayer. L’éditeur, Lifestyle Boardgames, le présente comme un « jeu d’escape game coopératif, construit comme une série TV. »
Même du côté auteur, c’est coopératif ! Nous avons affaire à 3 auteurs : Martin Nedergaard Andersen, Alexander Peshkov et Ekaterina Pluzhnikova.
Pas moins de 8 illustrateurs ont œuvré pour vous immerger au fin fond de l’asile : Anastasia Durova, Dmitry Krasnov, Nadezhda Mikhailova, Pavel Korobkov, Anastasia Stupak, Maxim Suleimanov, Victoria Kochkina et Victoria Volina-Lukian.
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Le tout est édité par Lifestyle Boardgames, un éditeur russe qui s’implante peu à peu dans nos vertes vallées.
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Escape from the Asylum est prévu pour 1 joueur et +, à partir de 12 ans et pour une durée d’environ 60 minutes.
Vous avez le plan ? Alors sortez vite de cet asile avant de perdre la boule !
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Le matériel
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Escape from the Asylum tient dans 2 petites boîtes groupées dans une sorte de sleeve en papier cartonné. L’une des 2 contient tout le nécessaire de la PARTIE 1 et l’autre tout le nécessaire de la PARTIE 2 (Si, si, je vous assure !).
Dans chaque boîte, vous trouverez un plan, une fiche de temps, des cartes (1 paquet principal et 1 paquet de réserve), des indices et des enveloppes représentant les différents lieux que vous pourrez « visiter » ; vous ne saurez donc pas ce que contiennent ces endroits avant d’y être entré.
Petit point négatif concernant uniquement mon exemplaire (ATTENTION, micro-spoil dans la phrase qui suit, vous n’êtes donc pas obligé de la lire !) :
Une enveloppe sensée être thermosensible ne l’était pas du tout, ce qui m’a un peu refroidie (Si je puis dire ! 😉 ).
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A quoi ça ressemble ?
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Comment on joue ?
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La mise en place est la même quel que soit le nombre de joueurs : on place les cartes du paquet principal en 10 piles (ou pas…) pour aider à la recherche des numéros, le paquet de réserve est placé non loin. Le plan est placé devant le(s) joueur(s) qui se munit/munissent de l’incontournable duo papier + crayon. On gardera les enveloppes des différents lieux à proximité, ainsi que les indices et la solution (On ne sait jamais !).
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Vous l’aurez compris, le jeu se déroule en 2 parties : la première à l’étage, et la deuxième au rez-de-chaussée d’un asile.
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Dans la première partie, vous vivrez le début des 5 histoires de 5 personnages différents, dans l’ordre : d’abord l’histoire n°1, puis la n°2… Je vous laisse deviner la suite jusqu’à l’histoire n°10 ! Il vous faudra terminer les histoires de la deuxième partie pour découvrir les différentes fins possibles. Il paraît également que certaines choses vous seront révélées !!!
Pour cela, vous vous déplacerez dans les différentes pièces de l’asile, à la recherche d’indices. Vous serez confrontés à des énigmes variées et à certains choix de vie… Chaque énigme vous fera chercher un code correspondant à la prochaine carte : attention aux erreurs !
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Certains objets sont transportables, vous pourrez donc les emporter avec vous dans la suite de l’aventure ; d’autres ne le sont pas, vous devrez donc les laisser dans la pièce où vous les avez vus. Il vous faudra donc être très attentifs et prendre des notes.
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Lorsque vous êtes venu à bout d’une histoire, vous pouvez vous attaquer à la suivante !
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VERDICT
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Un escape game avec un peu de « Livre dont vous êtes le Héros à l’intérieur ». La narration est bien présente et le tout bien ficelé.
Très visuel, comme ses concurrents, mais d’une logique parfois difficile à cerner si vous n’avez pas adhéré à la philosophie du jeu, Escape from the Asylum est très agréable à prendre en main mais parfois très (trop ?) retors. De plus, certains indices peuvent induire en erreur et faire perdre un temps précieux. Mieux vaut avoir les idées claires pour s’aventurer dans cet asile !
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L’immersion, quant à elle, est bien servie par l’utilisation des enveloppes-lieux et leur contenu ; cela permet de s’affranchir un peu du tirage des cartes, qui, comme dans toutes les références du genre, reste incontournable.
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Escape from the Asylum est un peu corsé pour les débutants mais fera la joie des amateurs du genre.
Ma configuration idéale requiert 3 ou 4 joueurs. En solo, difficile d’avancer sans émulsion ; à 2, c’est déjà mieux mais… ; et avec plus de joueurs, ça part dans tous les sens !
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Conclusion : Une grande aventure dans une deux petites boîtes expertes !
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Elastium vous propose d’explorer un monde distendu où l’espace et le temps sont élastiques. Etirez-vous pour contrôler un maximum de territoires et collecter le plus de trésors !
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Ce jeu est l’oeuvre de Yaniv Kahana et Oren Shainin, illustré par Maxim Suleymanov et Alexander Rommel. L’éditeur est Lifestyle Boardgames Ltd.
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Prévu pour 2 à 4 joueurs, à partir de 8 ans et pour une durée d’environ 20 à 40 minutes.l
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Le matériel :
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Une base de jeu en plastique avec des picots en 3D : à l’état brut, c’est moche… mais on joue avec un plateau par-dessus !
Des plateaux de jeu perforés en papier cartonné : 8 scénarii pour chaque configuration (2 / 3 / 4 joueurs)
50 cartes Ressource de 5 couleurs différentes, de qualité correcte
Environ 100 élastiques de 4 couleurs différentes : les mêmes que ceux que vous utilisez pour faire des bracelets quand c’est à la mode !
50 jetons Energie en plastique de bonne qualité
1 piste de score à assembler en carton fin
L’ensemble est correct et plutôt agréable à l’œil. Peut-être un peu simpliste mais, en tout cas, ça ne pique pas !
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A quoi ça ressemble ?
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Comment on joue ?
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Lors de la mise en place, les joueurs choisissent un scénario et placent le plateau correspondant sur la base 3D. Ils prennent connaissance des règles spéciales et des conditions de fin de partie. Ils assemblent ensuite la piste de score autour de la base.
Puis chaque joueur reçoit les élastiques de la couleur choisie, ainsi que 4 à 7 cartes, en fonction de sa position dans l’ordre du tour.
La pioche des cartes Ressource est placée à proximité du plateau et 5 cartes sont dévoilées.
Les jetons Energie sont disposés à côté.
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A son tour, un joueur effectue 2 actions au choix parmi les 2 disponibles :
Prendre 2 cartes Ressource et les ajouter à sa main (sa réserve de ressources naturelles), sans limite de quantité. La rivière de cartes est complétée à la fin de cette action.
Placer un élastique sur 2, 3 ou 4 picots pour explorer / contrôler un territoire et collecter les objets qui s’y trouvent :
jetons Energie : le joueur les prend dans la réserve et les place devant lui.
trésors : le joueur marque immédiatement un point par trésor dans la zone contrôlée.
objets spéciaux : ces symboles sont décrits dans les règles de chaque scénario concerné.
Un joueur peut dépenser 3 jetons Energie pour effectuer une action supplémentaire (un peu le nerf de la guerre cette énergie !).
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Règles de pose des élastiques : le joueur actif doit poser son élastique à partir d’un picot qu’il contrôle déjà (ou de l’un des picots en surbrillance lors du 1er tour). Il défausse (face visible) le nombre de ressources correspondant aux couleurs et au nombre de nouveaux picots contrôlés. Pour chaque picot qui n’était pas encore occupé, une carte est défaussée ; si des picots étaient occupés par un adversaire, les cartes lui reviennent et il les ajoute à sa main.
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Attention : les ressources ne sont collectées qu’une seule fois, par le premier joueur qui explore un territoire.
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Certains scénarii vous proposent de rejoindre l’autre extrémité du plateau pour marquer davantage de points ou de former des « images » … ce qui apporte une rejouabilité appréciable.
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La partie se termine à la fin de la manche durant laquelle l’objectif du scénario choisi a été atteint. Les joueurs procèdent alors au décompte des points en fonction du scénario et des règles communes (1 point pour 3 jetons Energie inutilisés). En cas d’égalité, c’est le joueur ayant posé le moins d’élastiques qui l’emporte.
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VERDICT
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Il faut faire attention à notre positionnement au-dessus du plateau pour bien visualiser les objets entourés. Si l’on reste sur le côté, notre vision peut être faussée, mais rien de très gênant : les autres joueurs veillent !
Petit bémol quant au pronostic de la durée de vie des élastiques : eh bien… ce sont des élastiques ! Ils seront facilement remplaçables tant qu’on trouvera de quoi fabriquer des bracelets ! 😉
Le thème est, comment dire… inexistant mais la mécanique sympathique, les différentes mises en place (donc la rejouabilité) et l’originalité du matériel vous offriront de bons moments.
Conclusion : une bonne surprise pour un agréable jeu familial élastiqué !
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